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Billet de blogue : Liste de lecture de la période des fêtes de Pender – décembre 2018

Decembre 12, 2018
Rédigé par Investment Team
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David Barr 

Je suis impatient de lire trois livres pendant cette période des fêtes. Deux ont trait à la prise de décision et le troisième a contribué à ma quête sans fin visant à être organisé et il est temps de le relire.

Thinking in Bets: Making Smarter Decisions When You Don’t Have All the Facts, Annie Duke

Annie Duke est une ancienne joueuse de poker professionnelle qui a écrit sur la théorie de la prise de décision. Ce livre contient plusieurs idées qui se rattachent au modèle de pensée probabiliste et je suis impatient de découvrir les liens qui existent avec les placements boursiers.

Gridiron Genius: A Master Class in Winning Championships and Building Dynasties in the NFL, Michael Lombardi

Le football américain est un jeu très stratégique et ce livre parle beaucoup du coaching et de la prise de décision. Il parle aussi de la façon de mettre toutes les chances de son côté. J’ai entendu dire que ce livre était l’équivalent du livre Moneyball, mais appliqué au football américain. Il s’agit d’un nouvel exemple de la façon dont une discipline différente de la nôtre peut contribuer à notre processus de placement.

The Bullet Journal Method: Track the Past, Order the Present, Design the Future, Ryder Carroll

Je suis toujours à l’affût de techniques capables de me permettre plus facilement de tenir un journal et de prendre des notes. Cela fait deux ans que j’utilise la technique des puces pour tenir mon journal et je la recommande à quiconque souhaite être bien organisé.

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Felix Narhi

Why We Sleep: Unlocking the Power of Sleep and Dreams, Matthew Walker

Que vous soyez un investisseur ou non, ce livre aborde des thèmes qui parlent à tous. Ou, du moins, il le devrait. Après tout, nous passons plus d’un quart de notre vie à dormir. Pourtant, la raison expliquant pourquoi nous dormons demeure un mystère. Plus maintenant. Nous avons tous entendu parler de ces personnes qui prétendent ne pas avoir besoin de trop dormir, comme si le sommeil était une sorte de faiblesse ou une perte de temps. Prenez ces revendications avec un grain de sel, car ce livre est plein de révélations à propos des méfaits liés à la privation de sommeil. Selon des preuves de plus en plus nombreuses, les personnes qui ne dorment pas suffisamment sont plus bêtes, elles font plus d’embonpoint, elles sont plus malheureuses, pauvres, malades, moins bonnes au lit et plus susceptibles de souffrir du cancer, d’Alzheimer et de mourir dans un accident de voiture. Je parie que vous n’arriverez pas à ne pas dormir un peu plus après avoir lu ce livre. Un passage préféré : « Les scientifiques ont découvert un nouveau traitement révolutionnaire qui permet de vivre plus longtemps. Il permet de raviver votre mémoire et vous rend plus attirant. Il vous permet de rester mince et réduit les fringales. Il vous protège contre le cancer et la démence. Il prévient le rhume et la grippe. Il réduit le risque de maladie cardiaque et d’accidents vasculaires cérébraux, sans oublier le diabète. Vous vous sentirez encore plus heureux, moins déprimé et moins anxieux. Êtes-vous intéressé ? »

100 to 1 in the Stock Market: A Distinguished Security Analyst Tell How to Make More of Your Investment Opportunities, Thomas W. Phelps

Lorsqu’il s’agit de recommander des livres sur le placement, la tentation est toujours forte de choisir quelque chose de « nouveau ». Cependant, de nombreux livres à succès sur le placement ne font que ressasser de vieilles idées sans ajouter grand-chose de nouveau au discours. D’autres couvrent les sujets brûlants du jour, mais ils tomberont rapidement en désuétude. Idéalement, nous préférons en savoir plus sur les idées et les principes qui auront une plus longue durée de vie. Je me demande parfois quels sont les livres que j’ai lus il y a 10 ans dont je suis toujours passionné. De même, je préfère en savoir plus sur les sujets qui pourraient me passionner encore dans dix ans. Initialement publié en 1972, cet ouvrage a résisté à l’épreuve du temps et il figure parmi une poignée de tomes qui ont eu un grand impact sur moi. Notamment, en ce qui concerne la façon dont les titres créateurs de rendements composés permettent d’accumuler la richesse au fil du temps. L’auteur y révèle d’anciennes stratégies de placement à long terme qui ont déjà permis de centupler la richesse. Bien que les exemples soient datés, les principes fondamentaux ont su résister au passage du temps. Jusqu’à très récemment, je crois que l’on aurait pu parler d’« un des plus importants livres sur le placement dont vous n’avez jamais entendu parler ». C’est sur la recommandation de Tom Gayner de Markel que j’ai initialement acheté ce livre et comme cela faisait longtemps que le livre était épuisé, j’ai dû m’acheter un exemplaire de seconde-main. Il a depuis retrouvé sa gloire d’antan et retrouvé sa réputation culte et il est de nouveau disponible. Un passage préféré : « Pour faire de l’argent avec les actions, vous devez avoir “la capacité de les découvrir, le courage de les acheter et la patience de les conserver à long terme.” Parmi les trois, c’est la patience qui est le plus difficile à trouver. »

Capital Returns: Investing Through the Capital Cycle: A Money Manager’s Reports 2002-15, Edward Chancellor

Ce livre est une compilation des lettres envoyées par Marathon Asset Management LLP à leurs clients entre 2002 et 2015. Le livre se penche sur leur analyse du « cycle du capital », une puissante approche en matière du placement à long terme qui combine un volet d’analyse (par exemple, l’analyse concurrentielle de Michael Porter) avec un volet comportemental. Il s’agit de l’un des meilleurs livres que j’aie lus sur les occasions permettant d’exploiter l’escompte, car il m’a permis d’apprécier à quel point le côté de l’offre du cycle d’exploitation peut jouer un rôle démesuré sur le rendement des placements. En outre, le livre parle avec perspicacité des titres créateurs de rendements composés, comme le chapitre sur les barrières à l’entrée numériques. Il convient de noter que les auteurs chantaient déjà en 2007 les louanges d’entreprises comme Amazon.com et Priceline.com qui sont depuis devenues des vedettes, même si leurs thèses n’étaient pas très populaires à l’époque. Elles le sont maintenant. Un passage préféré : « Le placement à long terme fonctionne, car il y a moins de concurrence pour les informations les plus précieuses. »

Geoff Castle

The Responsibility Virus, Roger Martin

Écrit en 2002, mais toujours disponible en ligne, The Responsibility Virus,  de Roger Martin, est un livre sur le leadership, notamment sur un ensemble de problèmes qui se posent lorsqu’un groupe n’arrive pas à partager la responsabilité entre les dirigeants et les dirigés de façon optimale. On entend souvent dire que les grands dirigeants les plus célèbres sont peu doués en ce qui concerne l’efficacité au quotidien des organisations qu’ils dirigent. Ils assument l’entière responsabilité pour la production de bons résultats et ils s’appuient sur l’engagement et le travail de leurs équipes pour réussir, celles-ci professant déférence envers leurs dirigeants et réagissant de manière plutôt passive. Souvent, lorsque ces grands dirigeants se rendent compte que leurs efforts menés en solo sont susceptibles d’échouer, ils ont tendance à se retirer de la situation et à attribuer le blâme à leurs subordonnés qui doivent vivre avec les séquelles. Selon M. Martin, le fait d’attribuer trop de responsabilités à une seule personne et de ne pas en attribuer suffisamment aux autres membres d’une organisation peut se propager comme un virus et mener à un échec plutôt prévisible.

Comment faire alors pour empêcher les problèmes liés aux « maniaques du contrôle » et aux « grands timides » ? Cet ouvrage vise d’abord et avant tout à répondre à ce dilemme, y compris au moyen d’une approche plus scientifique en matière de la structure du processus décisionnel, ce que M. Martin appelle « la structure des choix ». M. Martin fait aussi valoir que le « virus de la responsabilité » est le résultat d’un grand nombre de conversations très improductives sur la répartition de la responsabilité relativement au processus décisionnel d’une organisation. Selon l’auteur, le fait d’envisager les décisions comme faisant partie des nombreuses étapes d’une hiérarchie décisionnelle, en partant des décisions entièrement déléguées à l’échelon le plus bas jusqu’aux décisions unilatérales prises par la direction à l’échelon le plus élevé, peut engendrer toute une gamme d’occasions de participation susceptibles d’accroître l’engagement et de produire de meilleurs résultats. Il s’agit d’un livre bien écrit et je le recommande à toute personne, tout leader, ou tout suiveur qui travaille en équipe et qui souhaite améliorer les résultats grâce à la collaboration.

Maria Pacella

Measure What Matters: How Google, Bono, and the Gates Foundation Rock the World with OKRs, John Doerr

Ce livre parle du système de gestion rendu célèbre par le regretté Andy Grove lorsqu’il assurait la direction de Intel. Il parle des objectifs et des résultats clés qu’il surnomme les « OKR ». « Objectifs » répond à la question de savoir « ce qui » doit être accompli, et les « résultats clés » répondent à la question de savoir « comment » s’y prendre. Peu importe leur taille ou qu’elles soient à but lucratif ou non, toutes les organisations peuvent bénéficier de cette méthodologie, non seulement en ce qui concerne l’objectif, la mesure et l’alignement, mais également pour bâtir une culture axée sur les résultats. À l’aide de nombreux exemples, en partant des premiers pas de Google jusqu’à Fondation Gates, John Doerr accompagne le lecteur tout au long du processus qui permet aux OKR d’être adaptés à diverses situations. Pour en savoir plus, vous pouvez également lire High Output Management, de Andrew S. Grove.

1984, George Orwell

Un ami a récemment relu ce livre pendant un vol et cela m’a donné envie de relire aussi. Il se peut que ce soit un signe des temps, ou que je sois à la recherche d’une explication pour tous les troubles géopolitiques et les fausses nouvelles, ou bien que ce soit simplement le fait que les médias sociaux et que mon téléphone inteligent me disent où je dois me rendre et quand, mais je m’interroge sur ce que tout cela pourrait bien signifier. Big Brother nous observe-t-il ?

Sharon Wang

AI Superpowers: China, Silicon Valley, and the New World Order, Dr Kai-Fu Lee

L’intelligence artificielle (IA) est l’une des tendances technologiques les plus perturbatrices auxquelles nous faisons face aujourd’hui. Nous sommes nombreux à avoir pensé à l’avenir de l’intelligence artificielle et de son impact sur l’humanité. Dans ce livre, le Dr Kai-Fu Lee, expert avant-gardiste du domaine de l’intelligence artificielle depuis plus de 30 ans, partage son point de vue unique sur l’intelligence artificielle en se fondant sur son expérience directe et multiculturelle. Il s’agit d’un excellent ouvrage sur l’histoire de l’intelligence artificielle, sur la phase où elle en est actuellement et sur son avenir. Je trouve ce livre particulièrement bien réussi dans l’analyse qu’il fait de la vigueur relative de la Chine et de la façon dont elle est devenue un acteur dominant du domaine de l’intelligence artificielle, étant donné que l’intelligence artificielle passe du stade de « découverte » à celui de la « mise en pratique » et du stade d’« expertise » à celui des « données ». J’apprécie vraiment le point de vue du Dr Lee selon lequel le système de la Silicon Valley et le système chinois sont tous deux utiles et qu’ils travaillent ensemble dans un « univers parallèle ». Plus important encore, son point de vue sur la façon dont l’intelligence artificielle et les humains pourraient coexister à l’avenir nous fait réfléchir sur ce qui fait que nous sommes humains.

Amar Pandya

Give People Money: How a Universal Basic Income Would End Poverty, Revolutionize Work, and Remake the World, Annie Lowrey

L’un des principaux thèmes de discussion au sein de l’équipe de placement de Pender au cours de la dernière année a été le changement de paradigme, lourd de conséquences, où l’on constate qu’on se dirige vers une économie à faible densité de capital, comme en témoignent si bien les entreprises « FAANG » (Facebook, Apple, Amazon, Netflix et Google) qui ont besoin d’un investissement minimal en actifs et en travail pour faire progresser leurs entreprises. Cela contraste violemment avec les entreprises à forte intensité de capitaux du passé comme GE et Sears, qui continuent à faiblir et à éliminer des dizaines de milliers d’emplois. Bien que ce changement favorise l’efficacité, on pense à l’utilisation des ressources et à la croissance économique, il a également pour conséquence de diminuer l’utilité de la main d’œuvre. Étant donné la progression de la pauvreté, la situation de sous-emploi chronique et les salaires qui stagnent, il est possible que le remplacement graduel du travail humain par l’automatisation exige un changement radical dans notre mode de penser.

Give People Money de Annie Lowrey, un livre sérieux, perspicace et provocateur, permet à cette rédactrice économique de discuter des avantages et des inconvénients liés au fait d’offrir à la population un revenu minimum garanti. L’idée de fournir de l’argent aux particuliers, chaque mois, sans condition et sans rien attendre en retour peut sembler radicale, mais les études montrent que le fait d’offrir aux personnes qui vivent dans la pauvreté un coussin financier et psychologique pourrait représenter la meilleure façon de les sortir de cette situation. Fait intéressant, le mouvement pour l’offre d’un revenu minimum garanti a des partisans et des adversaires des deux côtés du spectre politique et les gouvernements à travers le monde envisagent sérieusement la mise en œuvre de ce concept et ils sont nombreux à mener des essais pour en évaluer les résultats. Cet ouvrage fascinant traite d’un concept qui est susceptible de prendre de l’ampleur, il examine les enjeux philosophiques, moraux et culturels liés à l’offre d’un revenu minimum garanti et il se questionne sur les valeurs de notre société et sur ce que nous nous devons les uns les autres. 

Kenndal McArdle

Let My People Go Surfing: The Education of a Reluctant Businessman, Yvon Chouinard

Let My People Go Surfing raconte l’histoire de la marque Patagonia inc., fabricant de vêtements haute performance désormais emblématique. Cet ouvrage a été porté à mon attention par un ami et par un balado auquel j’ai écouté récemment. Le livre raconte la vie de Yvon Chouinard, fondateur de Patagonia, et les épreuves et les mésaventures liées à la création d’une entreprise qui était des décennies en avance sur son temps. On peut dire que M. Chouinard et son entreprise étaient les pionniers dans la compréhension et la mise en œuvre de pratiques « triples résultats », à savoir des pratiques où les responsabilités sociales, environnementales et financières sont toutes placées sur un pied d’égalité. M. Chouinard est la quintessence d’un fondateur-exploitant doté d’une perspective à long terme et il a bâti une entreprise durable qui a bien tenu le coup sur plusieurs décennies, une prouesse dans l’industrie de la mode. J’espère me faire une meilleure idée de la façon dont il a construit son entreprise remarquable, de sa vision personnelle de la vie et de son sens du détail, qui seraient des sources d’inspiration selon ce qu’on m’a dit.

Parul Garg

On Being Certain: Believing You Are Right Even When You’re Not, Robert A. Burton, M.D.

  1. Narhi m’a conseillé de lire On Being Certain, un livre qui n’est pas du domaine du placement, mais qui m’a néanmoins donné une perspective différente sur certains aspects de notre processus de placement. À dire vrai, le livre m’a sortie de ma zone de confort en posant un regard sur les différents aspects de la cognition, de la certitude et du « sentiment de savoir ».
  2. Burton fait valoir, à travers les résultats de son expérience « Challenger », qu’il est possible de se tromper, même lorsque nous sommes convaincus d’avoir raison. Il propose également que le cerveau est comme une machine équipée d’un système sensoriel différent pour traiter les informations recueillies dans le passé. Il arrive parfois en traitant ces données qu’on ait l’impression de savoir quelque chose, même si nous ignorons pourquoi et même quand on nous montre qu’on fait erreur. Il s’agit là de quelque chose dont il faut se méfier !

Victoria Zhang

Common Stocks and Uncommon Profits and Other Writings, Philip A. Fisher

  1. Fisher a écrit ce livre pour aider le « grand public investisseur », quel que soit son niveau de compréhension du monde du placement, à comprendre son processus en trois étapes : quoi acheter, quand acheter et quand vendre. Ses « quinze éléments à considérer lors de l’achat d’une action » encouragent les lecteurs à prendre un peu de recul par rapport au jargon que nous utilisons normalement pour analyser une société et à réévaluer les facteurs les plus importants qui permettent à une entreprise de croître de façon robuste et organique à long terme. Sa célèbre méthode « Scuttlebutt » reflète l’accent que place M. Fisher sur la façon dont l’entreprise fonctionne au quotidien, celle-ci étant considérée sous des angles différents. Il estime que les investisseurs peuvent se faire une bonne idée de la façon dont une entreprise mène ses activités et de ses avantages concurrentiels en parlant avec ses fournisseurs, ses collaborateurs et ses concurrents. Et il est tout à fait vrai que ces conversations mènent à un bon niveau de compréhension de toutes les choses qui permettent à une organisation de bien se positionner pour la croissance à long terme. Il est vrai, cependant, que l’efficacité du marché a eu pour conséquence de rendre l’exercice plus difficile qu’il y a cinquante ans, mais le principe qui veut que ce soit la base d’une entreprise qu’il faut analyser n’est jamais dépassé. Common Stocks and Uncommon Profits n’est pas une simple liste de contrôle pour faire des placements. L’ouvrage sert plutôt d’inspiration sur la manière d’évaluer une entreprise. Étant donné la volatilité actuelle du marché, l’ouvrage de M. Fisher nous rappelle de réexaminer notre thèse de placement en nous concentrant sur l’entreprise plutôt que d’être aveuglés par tout le bruit sur le marché.

Lukasz Darowski

Everybody Lies: Big Data, New Data, and What the Internet Can Tell Us About Who We Really Are, Seth Stephens-Davidowitz

Nous vivons dans un monde où toutes nos actions, nos opinions et nos comportements sont consignés et analysés. L’influence des mégadonnées augmente de façon exponentielle et elle touche tous les aspects de notre vie quotidienne. Les entreprises consacrent une grande partie de leurs budgets à la collecte et à l’analyse des données et celles-ci contribuent de façon importante aux activités de plusieurs secteurs. Ce livre explore les nombreuses idées que nous pouvons tirer des mégadonnées, en partant de l’économie jusqu’à la psychologie humaine. Je travaille avec les données tous les jours. J’espère que ce livre m’aidera à envisager les données différemment de sorte que je puisse en tirer des conclusions utiles.

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